
com os amigos. sempre.
Do que me lembro mais?
«Li as histórias todas, uma por uma, noite dentro, sempre a sentir-me quase na margem do rio por onde se navega para outra dimensão qualquer. Viajei por dentro de todos os nervos de todas as perplexidades humanas, e a rede de dendrites ia sempre parar ao axónio fundamental, em que, de uma vez por todas, alguém tem que fazer o gesto definitivo que muda tudo, derruba tudo, atira tudo por terra ou volta a pôr tudo no lugar mas já todos sabemos qe nunca mais nada voltará a ser como era dantes. Era incrível. Era hipnótico. Era impossível de interromper antes de chegar ao fim e depois eu apagava a luz e ficava a dar voltas na cama (...). A minha Flannery morreu em 1964. Descubram-na agora, e cada um que julgue por si mesmo.» Clara Pinto Correia
Une seule chose est nécessaire: la solitude. La grande solitude intérieure. Aller en soi-même, et ne rencontrer, des heures durant, personne - c'est à cela qu'il faut parvenir. Etre seul comme l'enfant est seul quand les grandes personnes vont et viennent, mêlées à des choses qui semblent grandes à l'enfant et importantes du seul fait que les grandes personnes s'en affairent et que l'enfant ne comprend rien à ce qu'elle font. S'il n'est pas de communion entre les hommes et vous, essayez d'être prêt des choses: elles ne vous abandonneront pas. Il y a encore des nuits, il y a encore des vents qui agitent les arbres et courent sur les pays. Dans le monde des choses et celui des bêtes, tout est plein d'évènements auxquels vous pouvez prendre part. Les enfants sont toujours comme l'enfant que vous fûtes: tristes et heureux; et si vous pensez à votre enfance, vous revivez parmi eux, parmi les enfants secrets. Les grandes personnes ne sont rien, leur dignité ne répond à rien.